Quelle semaine !
Une semaine agitée !
J’ai eu une semaine dont le programme a été chargé ! Jugez-en…
Mon fils Pierre est arrivé de Cannes lundi soir 3 mai, et ma fille Hélène des Caraïbes le lendemain 4, cueillie à l’aéroport par Armel, l’aîné de ses jumeaux (Axel l’autre moitié reste en Guadeloupe). Soirée en famille chez moi…
Armel n’a pas vu sont contrat de steward renouvelé depuis la covid 19, les avions restant au sol. Il a néanmoins acheté en décembre dernier une maison sur un très grand terrain planté d’arbres, dans un bourg plein de charme traversé par la Maine, à moins de trente kilomètres de Nantes. Il s’est passionné par la mise en valeur de son ‘’domaine’’, y fait des plantations, le clôture, prépare un potager, et le plus beau cadeau que vous pouvez lui faire, c’est une arbre ! Sa maman est venue pour l’aider à peaufiner l’agencement de l’intérieur, peindre en blanc le puits de lumière jusqu’ici en lambris verni, bref, donner à l’ensemble une note féminine…
Au cours du dîner nous avons évoqué nos Barcelonais, que nous n’avons pas vus depuis Noël et décidons de trouver un vol…
Nous n’avons pas trouvé de vol au niveau de notre bourse et décidons d’y aller par la route ! Pas loin de mille kilomètres quand même ! Dès demain, il faut faire les tests en espérant qu’ils soient négatifs pour les quatre. Le vaccinodrome où j’ai rendez-vous pour mon second pfizer ne fait pas les tests, et mon labo habituel voisin de chez moi non plus… Mais sur le parking couvert de mon hypermarché favori, une tente abrite un staff qui les pratique et la queue s’allonge à chaque fois que j’y gare ma voiture. Après une attente raisonnable , nous expliquons que nous avons une frontière à franchir. Par précaution, nous aurons les deux formes, PCR et l’autre.
Peu de temps après, nous savons quenous sommes négatifs pour l’un. Les résultats de l’autre nous seront communiqués par internet au cours de l’après-midi de demain avant le passage de la frontière.
Nous sommes à La Jonquéra unpeu avant 19 h : aucun policier ni douanier et nous entrons en Espagne presque sans s’en être aperçus…
Traverser Barcelone à 20 h un vendredi soir n’est pas une mince affaire, compliquée de plus par la police qui a bloqué une longue portion de la pénétrante qui mène au cœur dela ville.
Antoine et Maria ont changé d’appartement, et dans le lacis des petites rues étroites de la vieille ville, même le GPS semble avoir perdu le sens de l’orientation !
Le comité d’accueil qui nous guide par téléphone est efficace et présent au pied de l’immeuble à notre arrivée. Que de bonheur de se sreer puis de s’embrasser sans masques puisque nous sommes négatifs et pouvons le prouver !
Le reste est encore à vivre !