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La Bourlingueuse
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5 août 2018

En famille

La maîtresse Lakévio nous a accordé des vacances... je vais en profiter pour vous faire partager un résumé de ce séjour en famille

Suivez-moi... si le coeur vous en dit !

§

La Guadeloupe enfin ! Aujourd’hui, son ciel s’est habillé de gris. Hélène et Bernard sont là avec deux voitures, la toute dernière acquisition est rouge… La Maison Bleue et son extraordinaire jardin exotique nous attendent et c’est le bonheur ! Prudente, je me suis munie outre de Zirtec, cet antihistaminique interdit en France que j’achète au Walmart de Dallas, mais aussi de répulsif, plus un bracelet anti-moustique. Me voilà parée pour affronter les mosquitos qui empoisonnent habituellement mes séjours ici ! Bernard me fait remarquer que sur la terrasse est posé un piège à moustiques qui, par ses couleurs contrastées noir et blanc attire les insectes qui sont aussi appâtés par un produit qui les piège : ils entrent sans méfiance dans le récipient d’où ils ne peuvent s’échapper puisque les pales d’un ventilateur les gardent à l’intérieur. Ca doit marcher puisque, pour la première fois depuis que je viens en Guadeloupe, les hostilités n’ont pas encore commencé avant le dîner…

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Les cadeaux sont sortis et chacun en a sa part  : Matthieu arbore un lycra jaune sur lequel il affirme « my father is a pro surfer » (mon père est un pro du surf) Joan un lycra rouge, Maria un joli haut de dentelle et Tonio un T-shirt.  Mes cadeaux sont des livres et chacun choisira le sien avant sans doute de le passer aux autres. J’ai  pris pour le ti-Matt son premier jeu de cartes et pour Joan un Rubix Kub qui fait visiblement son bonheur.

La vedette du repas est une dorade coryphène de 3 kilos qui s’est laissé prendre au charme du leurre que lui tendaient le Gros JeF et son équipage.

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La soirée se prolonge dans la tiédeur de la nuit et le bruit familier des vagues sur la barrière de corail toute proche. Aucune piqûre de moustique à déplorer.  Les garçons ont tenu bon malgré les 6 heures de décalage horaire…  et Maria a dû rester avec eux pour tenter de les endormir.

J’ai voulu arrêter la « clim » mais Bernard m’en dissuade Il a eu raison : j’ai dormi comme une souche et ne me suis réveillée qu’à 9 h le lendemain.

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